
Célébration de l’Excellence : Le Président de la CNDH Distingué par l’UJT pour Sa Contribution à la Journée Mondiale de la Presse – Découvrez les Détails Essentiels
Engagement fort pour les droits humains : La CNDH honorée par l’UJT lors de la Journée mondiale de la presse
Dans une dynamique engagée et prometteuse, Belngar Larmé Jacques, président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), a reçu une reconnaissance officielle de l’Union des Journalistes du Tchad (UJT) pour son soutien à la Journée mondiale de la presse 2025. Ce moment fort, survenu le 3 juin, souligne l’importance de la synergie entre les médias et les institutions de défense des droits humains dans un contexte où les libertés fondamentales doivent être au cœur des préoccupations nationales.
Une collaboration essentielle pour l’avenir des droits humains
La rencontre a permis d’évoquer la nécessité d’une coopération renforcée entre la CNDH et l’UJT, indispensable pour la promotion des droits de l’homme au Tchad. Alors que le pays fait face à des défis multiples sur la scène nationale et internationale, le travail des journalistes se révèle crucial pour faire entendre la voix des laissés-pour-compte et éclairer l’opinion publique sur les enjeux sociétaux.
Une reconnaissance qui vaut de l’or
Célébration des contributions significatives
Lors de cet événement, Belngar Larmé Jacques a ouvert son discours avec une note de gratitude envers la profession de journaliste. « Dire merci est essentiel », a-t-il affirmé, soulignant que même des contributions modestes méritent d’être reconnues. En signe de remerciement, l’UJT a remis une attestation de reconnaissance à Jacques, célébrant son engagement lors de la Journée mondiale de la presse.
Cette remise de prix symbolique montre l’interconnexion des efforts pour un partage prospère des informations, essentielles pour la transparence et la responsabilité.
Le rôle pivot des médias dans la société
L’importance de la presse n’a jamais été aussi mise en lumière. La CNDH insiste sur le fait que sans les journalistes, les efforts en matière de droits humains risquent de rester dans l’ombre. « Sans les journalistes, notre travail resterait méconnu », a déclaré Jacques, mettant ainsi l’accent sur l’impact des reportages sur la perception publique des personnalités et institutions.
Jacques a cité des figures comme Mme Albatol et M. Carlos, soulignant comment leur présence médiatique a largement contribué à faire évoluer la scène publique.
Vers une coopération renforcée
Des initiatives de formation prometteuses
En prélude à la Journée mondiale de la liberté de la presse, la CNDH a annoncé son intention de collaborer étroitement avec l’UJT. Des formations vont être organisées à N’Djamena, Béchir et Moudou pour renforcer les capacités des journalistes. Cette initiative montre la volonté de produire des informations de qualité, permettant une meilleure compréhension des droits humains.
Un appel à la critique constructive
Belngar Larmé Jacques a également évoqué l’importance des critiques constructives. Il a invité le public et les journalistes à formuler des retours qui amélioreraient les services de la CNDH. « Nous sommes tous des Tchadiens, et tout ce que nous faisons doit être dans l’intérêt commun », a-t-il souligné, affirmant que le dialogue ouvert est un vecteur crucial d’amélioration et de transparence.
Éclairer les droits humains au Tchad
Un rôle de service public
L’engagement de la CNDH se veut au service de tous les Tchadiens, une mission essentielle dans un pays où le respect des droits fondamentaux est souvent mis à mal. Jacques a réaffirmé que la CNDH n’est pas qu’une simple institution, mais un acteur clé dans la gestion des affaires publiques.
« Les hommes passent, mais les institutions restent », a-t-il martelé, faisant référence à la nécessité de construire des systèmes durables qui préservent et promeuvent les droits de tous.
Perspectives d’avenir
En conclusion, cette rencontre marque une étape importante dans la mise en place de partenariats significatifs entre les institutions et les médias. Elle n’est pas seulement un événement ponctuel, mais une promesse d’un futur meilleur pour les droits de l’homme au Tchad. Grâce à cette collaboration ambitieuse, le dialogue pourrait mener à une amélioration substantielle des conditions de vie des Tchadiens, tout en renforçant leur autonomie et leurs droits.
Conclusion : Un phare d’espoir
Avec des initiatives telles que celles mises en avant lors de cette rencontre, le Tchad pourrait voir émerger une culture de respect des droits humains plus affirmée. La collaboration entre la CNDH et l’UJT constitue une lueur d’espoir qui, espérons-le, se transformera en une véritable dynamique de progrès, permettant une meilleure visibilité des enjeux sociétaux et un ministère public engagé.
L’avenir des droits humains au Tchad repose sur cette synergie renouvelée. Alors que l’on se prépare à d’éventuels défis futurs, le message est clair : ensemble, les institutions et les journalistes ont la capacité d’informer et de transformer la société pour le mieux.