Je paie le prix pour avoir essayé de soutenir l’ADAC en refusant de soutenir cette réforme.
Cependant, le directeur général sortant a également exprimé sa préoccupation quant à un projet de décret modificatif en cours de signature, qui selon lui, va compromettre l’autonomie de l’ADAC. Le décret définit des postes d’adjoints aux directeurs, impose des seuils de passation de marchés et exige une approbation du ministre pour les dépenses et les résolutions du Conseil de l’Aviation Civile. Le directeur général sortant considère que ce décret serait un recul de 17 ans de la création de l’ADAC et un danger pour l’avenir de l’institution.
Malgré ces préoccupations, Brahim Guihini Dadi reste fier de son travail à la tête de l’ADAC et remercie les professionnels de l’aviation civile pour leur dévouement envers leur institution. Il espère que les travailleurs de l’ADAC continueront à défendre la mission de sécurité d’aviation et à faire avancer l’ADAC. Enfin, il a exprimé sa gratitude envers les plus hautes autorités pour l’opportunité de diriger l’ADAC et a souhaité bonne chance à son successeur.