la 79ème Semaine de haut niveau de l’Assemblée générale s’ouvre à New-York
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L’objectif de la Semaine de haut niveau de cette année portera sur le progrès dans la mise en œuvre des 17 Objectifs de développement durable (ODD) qui ont été revendiqués par les organismes des Nations-Unies comme étant atteints d’ici 2030.
Ces Objectifs éliminent la pauvreté dans le monde et favorisent la paix, la prospérité et la sécurité pour la planète. Mais aujourd’hui, alors que de nouveaux défis de longue date continuent de se présenter, le monde est plus loin que jamais d’atteindre ces Objectifs.
Néanmoins, l’Assemblée générale des Nations-Unies réaffirmera ces actions en offrant l’opportunité, la volonté et la détermination de surmonter ces obstacles, et d’accélérer les actions visant à construire un monde plus sûr et plus juste.
Un moment de jugement : le sommet du futur
La Semaine de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations-Unies démarre avec l’un des points les plus intéressants de l’ordre du jour : le Sommet du futur, qui aura lieu les 22 et 23 septembre 2024, où dirigeants, décideurs et autres parties intéressées aborderont, entre autres questions secondaires, la situation de la gouvernance mondiale.
Et ces préoccupations seront, espérons-le, résolues, étant donné qu’elles sont devenues plus pressantes au fil des années. La pandémie de Covid-19, les guerres prolongées en Ukraine et au Moyen-Orient, et le réchauffement climatique ne sont que quelques-uns des indicateurs de ce que quelque chose ne va pas dans l’ordre normal.
Le sommet devrait réévaluer le niveau d’affectation concernant le multilatéralisme, en vue de créer un cadre plus solide, collaboratif et plus souple, capable de faire face efficacement aux problèmes mondiaux. L’une des questions de fond, soulignées à l’ordre du jour, sera le Pacte pour l’avenir, un document de travail élaboré au cours des négociations et censé préciser les activités visant à renforcer l’interaction mondiale.
Le pacte appellera les peuples à réaffirmer leur respect des principes de la Charte des Nations-Unies et de l’essence des ODD, tout en encourageant le développement d’un nouvel ordre qui gérera à la fois les enjeux d’aujourd’hui et de demain.
En termes simples, le Sommet du Futur souhaiterait voir l’action collective en faveur de la paix partout dans le monde s’intensifier, et il n’existe aucun obstacle à la résolution des problèmes de gouvernance qui empêcherait une telle inclusion.
Outre le sommet lui-même, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a organisé les 20 et 21 septembre le Sommet des Journées d’action du futur, conçu pour créer de nouvelles opportunités d’engagement entre les secteurs. Les journées d’action incluent la contribution de divers acteurs de la société civile, du secteur privé et des organisations internationales, qui joueront tous un rôle crucial dans l’élaboration de l’avenir de la gouvernance mondiale.
L’ouverture officielle du Sommet du Futur le 22 septembre sera précédée d’un segment de pré-ouverture à 8h 30 dans la salle de l’Assemblée générale. Il s’agira d’une courte vidéo résumant les événements clés des Journées d’action du Sommet du futur, suivie d’une performance spéciale de la chanteuse lauréate d’un Grammy Renée Fleming, qui interprétera deux chansons de son album primé, accompagnées de superbes visuels de National Geographic.
Moment ODD 2024 : mobiliser l’action mondiale
Le Moment ODD 2024, prévu le 24 septembre, devrait être l’un des moments forts de la Semaine de haut niveau. Cette session mettra en lumière les 17 ODD, qui sont actuellement en retard. Malgré les défis de taille, le Moment ODD présentera des exemples inspirants de progrès dans le monde entier, et soulignera qu’un changement transformateur est encore possible d’ici 2030.
Le Moment ODD de cette année est essentiel, principalement en raison des tendances inquiétantes de la pauvreté mondiale, des inégalités et des défis environnementaux. De nombreux ODD ont vu leurs objectifs retardés en raison des problèmes provoqués par la pandémie du Covid-19, et les problèmes causés par le changement climatique se sont aggravés.
Dans le même temps, le Moment ODD attirera l’attention sur les progrès dans la transition qui peuvent être justes et inclusifs, en ce qui concerne les systèmes alimentaires, les énergies renouvelables et l’amélioration de la connectivité qui sont nécessaires pour réaliser les ODD. Dans le cadre de la réunion convoquée par le secrétaire général Guterres, le Moment ODD 2024 cherchera à mettre en avant l’importance de la transformation en tant qu’option et nécessité.
La session mettra en outre en évidence la contribution de la volonté politique, des investissements financiers aux ODD et de la coopération internationale et intergouvernementale, pour faciliter leur réalisation. Il examinera comment la protection sociale, le travail décent et l’accès à Internet pourraient contribuer à améliorer la situation des personnes défavorisées.
En particulier, ils chercheront des moyens de transformer les systèmes alimentaires pour résoudre les problèmes de faim, activer le changement énergétique pour surmonter les émissions nettes et garantir que les technologies atteignent les jeunes, les femmes, les personnes âgées et les personnes handicapées.
Le Moment ODD 2024 vise à inspirer des efforts renouvelés pour réaliser l’Agenda 2030 en mettant en lumière ces réussites. Il constituera également un suivi essentiel du Sommet des ODD de 2023, garantissant que l’élan généré l’année dernière soit durable et développé.
Un ordre du jour chargé de réunions de haut niveau
En plus du Sommet du futur et du Moment ODD, la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies proposera une série de réunions et d’événements de haut niveau tout au long de la semaine, chacun abordant des défis mondiaux spécifiques. Ces événements devraient offrir des opportunités cruciales de dialogue, de coopération et d’action sur diverses questions qui nécessitent une attention urgente.
Le 25 septembre, une réunion plénière de haut niveau sur l’élévation du niveau de la mer réunira des dirigeants, des experts et des parties prenantes du monde entier pour discuter de la menace croissante que représente l’élévation du niveau de la mer. En effet, l’élévation du niveau de la mer est devenue l’un des défis environnementaux les plus urgents de notre époque, en particulier pour les petits États insulaires en développement et les régions côtières de basse altitude vulnérables aux impacts du changement climatique.
La réunion se concentrera sur la construction d’une compréhension commune de la question, la mobilisation des dirigeants politiques et la promotion d’une collaboration multisectorielle pour développer des solutions globales.
La réunion débutera par les déclarations d’ouverture des principaux intervenants avant de passer à des discussions multipartites sur la définition des thèmes. Ils couvriront, entre autres, les questions juridiques liées à l’augmentation du niveau de la mer, les sources de financement pour l’adaptation et la résilience, les effets socio-économiques et culturels de la montée des mers et l’utilisation des données et de la science comme base pour l’évaluation des risques et la prise de décision.
Ensuite, la santé est à l’ordre du jour, et une réunion de haut niveau sur la résistance aux antimicrobiens (RAM) est prévue le 26 septembre 2024. L’augmentation alarmante de la résistance aux antimicrobiens (RAM) et des infections qui y sont associées constitue désormais un défi mondial pour la santé et la sécurité alimentaire.
Une telle réunion permettrait aux dirigeants mondiaux de réaffirmer leur détermination concernant la RAM. Il s’agit surtout de l’occasion de définir les prochaines étapes, notamment le renforcement des systèmes de santé, l’utilisation responsable des antimicrobiens et le développement plus rapide de nouveaux traitements.
Les infections pharmaco-résistantes ne connaissant pas de frontières, et la RAM constitue un défi collectif qui nécessite une action internationale coordonnée. La réunion s’appuiera sur la dynamique générée par les déclarations et engagements précédents, en se concentrant sur le renforcement de la coopération mondiale dans la lutte contre la RAM.
Le désarmement nucléaire à l’ordre du jour
Le 26 septembre, l’Assemblée générale des Nations-Unies tiendra une réunion plénière de haut niveau en l’honneur de la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires. Cet événement annuel réaffirme l’engagement de la communauté mondiale en faveur du désarmement nucléaire, un objectif qui reste plus urgent que jamais, compte tenu des risques permanents posés par les armes nucléaires.
Malgré une réduction significative du nombre d’armes nucléaires déployées depuis la fin de la guerre froide, plus de 12 000 armes nucléaires existent encore aujourd’hui et des programmes de modernisation sont en cours dans plusieurs pays. Le cadre international de contrôle des armements, qui a joué un rôle crucial dans le maintien de la sécurité mondiale, a été soumis à des tensions croissantes ces dernières années.
L’effondrement de traités clés, tels que le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (INF) en 2019 et la suspension de la participation de la Russie au nouveau traité START, ont accru les inquiétudes quant à une reprise de la course aux armements. La frustration grandit parmi de nombreux États membres de l’ONU, face à la lenteur perçue du désarmement nucléaire.
Ainsi, la réunion plénière de haut niveau sera l’occasion d’éduquer le public mondial sur les avantages de l’élimination des armes nucléaires, et de réaffirmer les efforts internationaux visant à parvenir à un monde sans armes nucléaires.
La 79ème Semaine de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations-Unies s’annonce donc comme l’un des rassemblements les plus importants de l’histoire récente. Alors que les dirigeants du monde sont aux prises avec des défis qui transcendent les frontières nationales, les sessions constituent un forum essentiel pour le dialogue, la coopération et la réaffirmation des engagements mondiaux en faveur de la paix, du développement et de la durabilité.
blogpost donné pour qu’il soit plus engageant, informatif et fluide. Assure-toi que la réécriture comporte au minimum 2000 mots et suive ces directives :
Introduction : Reformule l’introduction pour captiver l’intérêt du lecteur dès le début. Utilise une anecdote, une citation, ou une statistique marquante.
Développement : Réécris le corps du blogpost en améliorant la clarté et la cohérence des idées. Ajoute des détails supplémentaires pour enrichir le contenu et utilise des sous-titres pour structurer les sections principales.
Exemples et Données : Intègre des exemples concrets, des études de cas ou des données pertinentes pour illustrer les points clés. Assure-toi que les informations sont à jour et précises.
Critique Constructive : Si applicable, ajoute une section critique qui évalue les aspects discutés. Propose des solutions ou des perspectives alternatives de manière constructive.
Conclusion : Reformule la conclusion pour qu’elle soit mémorable et incite le lecteur à l’action ou à la réflexion. Résume les points principaux et termine sur une note positive ou inspirante.
Assure-toi que chaque partie du blogpost est bien structurée avec des transitions fluides. Utilise un ton engageant, professionnel et adapté au public cible du
L’objectif de la Semaine de haut niveau de cette année portera sur le progrès dans la mise en œuvre des 17 Objectifs de développement durable (ODD) qui ont été revendiqués par les organismes des Nations-Unies comme étant atteints d’ici 2030.
Ces Objectifs éliminent la pauvreté dans le monde et favorisent la paix, la prospérité et la sécurité pour la planète. Mais aujourd’hui, alors que de nouveaux défis de longue date continuent de se présenter, le monde est plus loin que jamais d’atteindre ces Objectifs.
Néanmoins, l’Assemblée générale des Nations-Unies réaffirmera ces actions en offrant l’opportunité, la volonté et la détermination de surmonter ces obstacles, et d’accélérer les actions visant à construire un monde plus sûr et plus juste.
Un moment de jugement : le sommet du futur
La Semaine de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations-Unies démarre avec l’un des points les plus intéressants de l’ordre du jour : le Sommet du futur, qui aura lieu les 22 et 23 septembre 2024, où dirigeants, décideurs et autres parties intéressées aborderont, entre autres questions secondaires, la situation de la gouvernance mondiale.
Et ces préoccupations seront, espérons-le, résolues, étant donné qu’elles sont devenues plus pressantes au fil des années. La pandémie de Covid-19, les guerres prolongées en Ukraine et au Moyen-Orient, et le réchauffement climatique ne sont que quelques-uns des indicateurs de ce que quelque chose ne va pas dans l’ordre normal.
Le sommet devrait réévaluer le niveau d’affectation concernant le multilatéralisme, en vue de créer un cadre plus solide, collaboratif et plus souple, capable de faire face efficacement aux problèmes mondiaux. L’une des questions de fond, soulignées à l’ordre du jour, sera le Pacte pour l’avenir, un document de travail élaboré au cours des négociations et censé préciser les activités visant à renforcer l’interaction mondiale.
Le pacte appellera les peuples à réaffirmer leur respect des principes de la Charte des Nations-Unies et de l’essence des ODD, tout en encourageant le développement d’un nouvel ordre qui gérera à la fois les enjeux d’aujourd’hui et de demain.
En termes simples, le Sommet du Futur souhaiterait voir l’action collective en faveur de la paix partout dans le monde s’intensifier, et il n’existe aucun obstacle à la résolution des problèmes de gouvernance qui empêcherait une telle inclusion.
Outre le sommet lui-même, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a organisé les 20 et 21 septembre le Sommet des Journées d’action du futur, conçu pour créer de nouvelles opportunités d’engagement entre les secteurs. Les journées d’action incluent la contribution de divers acteurs de la société civile, du secteur privé et des organisations internationales, qui joueront tous un rôle crucial dans l’élaboration de l’avenir de la gouvernance mondiale.
L’ouverture officielle du Sommet du Futur le 22 septembre sera précédée d’un segment de pré-ouverture à 8h 30 dans la salle de l’Assemblée générale. Il s’agira d’une courte vidéo résumant les événements clés des Journées d’action du Sommet du futur, suivie d’une performance spéciale de la chanteuse lauréate d’un Grammy Renée Fleming, qui interprétera deux chansons de son album primé, accompagnées de superbes visuels de National Geographic.
Moment ODD 2024 : mobiliser l’action mondiale
Le Moment ODD 2024, prévu le 24 septembre, devrait être l’un des moments forts de la Semaine de haut niveau. Cette session mettra en lumière les 17 ODD, qui sont actuellement en retard. Malgré les défis de taille, le Moment ODD présentera des exemples inspirants de progrès dans le monde entier, et soulignera qu’un changement transformateur est encore possible d’ici 2030.
Le Moment ODD de cette année est essentiel, principalement en raison des tendances inquiétantes de la pauvreté mondiale, des inégalités et des défis environnementaux. De nombreux ODD ont vu leurs objectifs retardés en raison des problèmes provoqués par la pandémie du Covid-19, et les problèmes causés par le changement climatique se sont aggravés.
Dans le même temps, le Moment ODD attirera l’attention sur les progrès dans la transition qui peuvent être justes et inclusifs, en ce qui concerne les systèmes alimentaires, les énergies renouvelables et l’amélioration de la connectivité qui sont nécessaires pour réaliser les ODD. Dans le cadre de la réunion convoquée par le secrétaire général Guterres, le Moment ODD 2024 cherchera à mettre en avant l’importance de la transformation en tant qu’option et nécessité.
La session mettra en outre en évidence la contribution de la volonté politique, des investissements financiers aux ODD et de la coopération internationale et intergouvernementale, pour faciliter leur réalisation. Il examinera comment la protection sociale, le travail décent et l’accès à Internet pourraient contribuer à améliorer la situation des personnes défavorisées.
En particulier, ils chercheront des moyens de transformer les systèmes alimentaires pour résoudre les problèmes de faim, activer le changement énergétique pour surmonter les émissions nettes et garantir que les technologies atteignent les jeunes, les femmes, les personnes âgées et les personnes handicapées.
Le Moment ODD 2024 vise à inspirer des efforts renouvelés pour réaliser l’Agenda 2030 en mettant en lumière ces réussites. Il constituera également un suivi essentiel du Sommet des ODD de 2023, garantissant que l’élan généré l’année dernière soit durable et développé.
Un ordre du jour chargé de réunions de haut niveau
En plus du Sommet du futur et du Moment ODD, la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies proposera une série de réunions et d’événements de haut niveau tout au long de la semaine, chacun abordant des défis mondiaux spécifiques. Ces événements devraient offrir des opportunités cruciales de dialogue, de coopération et d’action sur diverses questions qui nécessitent une attention urgente.
Le 25 septembre, une réunion plénière de haut niveau sur l’élévation du niveau de la mer réunira des dirigeants, des experts et des parties prenantes du monde entier pour discuter de la menace croissante que représente l’élévation du niveau de la mer. En effet, l’élévation du niveau de la mer est devenue l’un des défis environnementaux les plus urgents de notre époque, en particulier pour les petits États insulaires en développement et les régions côtières de basse altitude vulnérables aux impacts du changement climatique.
La réunion se concentrera sur la construction d’une compréhension commune de la question, la mobilisation des dirigeants politiques et la promotion d’une collaboration multisectorielle pour développer des solutions globales.
La réunion débutera par les déclarations d’ouverture des principaux intervenants avant de passer à des discussions multipartites sur la définition des thèmes. Ils couvriront, entre autres, les questions juridiques liées à l’augmentation du niveau de la mer, les sources de financement pour l’adaptation et la résilience, les effets socio-économiques et culturels de la montée des mers et l’utilisation des données et de la science comme base pour l’évaluation des risques et la prise de décision.
Ensuite, la santé est à l’ordre du jour, et une réunion de haut niveau sur la résistance aux antimicrobiens (RAM) est prévue le 26 septembre 2024. L’augmentation alarmante de la résistance aux antimicrobiens (RAM) et des infections qui y sont associées constitue désormais un défi mondial pour la santé et la sécurité alimentaire.
Une telle réunion permettrait aux dirigeants mondiaux de réaffirmer leur détermination concernant la RAM. Il s’agit surtout de l’occasion de définir les prochaines étapes, notamment le renforcement des systèmes de santé, l’utilisation responsable des antimicrobiens et le développement plus rapide de nouveaux traitements.
Les infections pharmaco-résistantes ne connaissant pas de frontières, et la RAM constitue un défi collectif qui nécessite une action internationale coordonnée. La réunion s’appuiera sur la dynamique générée par les déclarations et engagements précédents, en se concentrant sur le renforcement de la coopération mondiale dans la lutte contre la RAM.
Le désarmement nucléaire à l’ordre du jour
Le 26 septembre, l’Assemblée générale des Nations-Unies tiendra une réunion plénière de haut niveau en l’honneur de la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires. Cet événement annuel réaffirme l’engagement de la communauté mondiale en faveur du désarmement nucléaire, un objectif qui reste plus urgent que jamais, compte tenu des risques permanents posés par les armes nucléaires.
Malgré une réduction significative du nombre d’armes nucléaires déployées depuis la fin de la guerre froide, plus de 12 000 armes nucléaires existent encore aujourd’hui et des programmes de modernisation sont en cours dans plusieurs pays. Le cadre international de contrôle des armements, qui a joué un rôle crucial dans le maintien de la sécurité mondiale, a été soumis à des tensions croissantes ces dernières années.
L’effondrement de traités clés, tels que le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (INF) en 2019 et la suspension de la participation de la Russie au nouveau traité START, ont accru les inquiétudes quant à une reprise de la course aux armements. La frustration grandit parmi de nombreux États membres de l’ONU, face à la lenteur perçue du désarmement nucléaire.
Ainsi, la réunion plénière de haut niveau sera l’occasion d’éduquer le public mondial sur les avantages de l’élimination des armes nucléaires, et de réaffirmer les efforts internationaux visant à parvenir à un monde sans armes nucléaires.
La 79ème Semaine de haut niveau de l’Assemblée générale des Nations-Unies s’annonce donc comme l’un des rassemblements les plus importants de l’histoire récente. Alors que les dirigeants du monde sont aux prises avec des défis qui transcendent les frontières nationales, les sessions constituent un forum essentiel pour le dialogue, la coopération et la réaffirmation des engagements mondiaux en faveur de la paix, du développement et de la durabilité.
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