La France s’engage aux côtés de la CNDH

La question des droits de l’homme n’est pas uniquement une préoccupation abstraite ; elle touche au cœur même des sociétés et des individus. Le 7 mars 2025, un moment significatif a eu lieu au Tchad, lorsque le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), Belngar Larmé Jacques, a reçu en audience l’ambassadeur de France, Éric Gérard, dans les locaux de la CNDH à N’Djamena. Cette rencontre ne symbolise pas seulement un échange diplomatique, mais aussi une promesse renouvelée envers la défense des droits fondamentaux dans un contexte souvent tumultueux.

Un Élan Vers la Collaboration

À l’issue de leur réunion, Éric Gérard a partagé avec la presse que sa venue au Tchad s’inscrivait comme une démarche amicale et stratégique. En effet, l’ambassadeur souhaitait explorer les avenues d’un partenariat plus profond entre la France et la CNDH, une institution engagée avec ardeur dans la promotion des droits de l’homme au Tchad. Ce soutien n’est pas nouveau, mais cette occasion a permis d’actualiser et de réaffirmer cet engagement.

La France, tout comme l’Europe, a historiquement apporté son soutien à des initiatives visant à renforcer le respect des droits de l’Homme. Au cours de leur échange, Gérard et Larmé Jacques ont plongé au cœur des défis que rencontrent ces droits fondamentaux dans le pays. Ces discussions ont décrit une réalité où l’engagement en faveur des droits humains est à la fois nécessaire et urgent.

Les Droits de l’Homme : Un Enjeu Fondamental

« Les avancées dans la protection des droits humains sont des étapes significatives », a déclaré Éric Gérard, réitérant l’importance primordiale que la France accorde à cette thématique. Les enjeux des droits de l’homme ne se limitent pas à des déclarations ; ils touchent à la dignité humaine, à l’autonomie des individus, et à la formation d’une société juste. Gérard a particulièrement salué l’engagement de la CNDH qui, par sa réflexion, son anticipation et ses actions, s’affirme comme un acteur crucial dans la dynamique des droits humains au Tchad.

L’ambassadeur a métaphoriquement décrit les droits de l’homme et les libertés fondamentales comme étant le socle d’une société épanouissante et d’un État digne de ce nom. Il a mis l’accent sur la nécessité d’établir un cadre solide pour la protection des droits au Tchad, en soulignant que les échanges lors de cette rencontre ont révélé des initiatives profondes et authentiques pour renforcer ce cadre.

Une Vision D’Avenir

L’engagement déclaré par Éric Gérard souligne non seulement le soutien institutionnel de la France à la CNDH, mais également une volonté de collaboration respectueuse et mutuellement bénéfique. Il a réaffirmé que l’ambassade de France se tenait prête à soutenir la CNDH dans sa mission essentielle, respectant parallèlement les missions distinctes et les contributions de chacune des parties impliquées dans ce processus.

Cette rencontre ne doit pas être considérée comme un événement isolé, mais plutôt comme une pierre angulaire pour cimenter la coopération entre la France et le Tchad dans la lutte pour la promotion et la protection des droits humains.

Un Appel à l’Action

Il est impératif pour les citoyens, les organisations de la société civile et les gouvernements du monde entier d’être vigilants et de défendre les droits fondamentaux. Cette visite et les discussions qui en ont découlé rappellent à chacun d’entre nous que la lutte pour les droits de l’homme est une responsabilité collective.

En conclusion, l’échange entre Éric Gérard et Belngar Larmé Jacques n’est pas simplement un formalité diplomatique, mais un engagement renouvelé à bâtir un avenir meilleur pour les droits de l’homme au Tchad. En tant que citoyens engagés, nous devons prendre conscience de notre rôle et soutenir ces initiatives qui contribuent à faire progresser les droits humains. Chaque pas vers la reconnaissance et la protection de ces droits est une avancée vers une société plus juste et plus équitable. Restons mobilisés et acteurs de ce changement, car l’avenir des droits de l’homme au Tchad, et ailleurs, dépend de notre engagement collectif.