La mairie est sollicitée pour mettre fin à la création anarchique de cabarets à N’Djamena.
Face à cette situation, la mairie doit réglementer et encadrer l’installation de ces débits de boissons. En effet, cette création anarchique de cabarets représente un défi pour la mairie de N’Djamena.
Après le lancement de l’opération « ville propre » par la mairie, il est judicieux de s’intéresser à cette question, car les conditions d’hygiène dans ces débits de boissons sont souvent mauvaises. Les toilettes sont très sales, et l’utilisation d’eau chaude pour le lavage des calebasses n’est pas respectée dans plusieurs endroits de la ville, ce qui représente un facteur de risque pour les consommateurs.
, la création de ces cabarets représente souvent une source de revenus pour de nombreuses femmes, leur permettant de subvenir aux besoins de leurs familles. Dans le souci de s’autonomiser, de nombreuses femmes se lancent dans cette activité lucrative.
Afin de rendre cette activité plus libérale, la mairie doit pleinement utiliser son pouvoir régalien pour réglementer la création de ces débits de boissons, faire respecter les règless d’hygiène de base et instaurer une licence de fonctionnement.
L’observance de ces règles permettrait de rendre la consommation de boissons traditionnelles plus saine, de réduire les risques d’exposition à certaines maladies et d’assurer la propreté des toilettes. Les vendeuses pourraient alors exercer leur commerce en toute quiétude et en tirer profit, permettant ainsi leur épanouissement.
En conclusion, la mairie de N’Djamena doit prendre ses responsabilités et réglementer la création de cabarets, pour assurer la sécurité et la santé des consommateurs, tout en permettant aux vendeuses de subvenir à leurs besoins et de s’autonomiser.