L’Attaché de coopération scientifique et universitaire de l’ambassade de France au Tchad visite le laboratoire hydro-géosciences et réservoirs de l’université de N’Djamena

Dans le cadre du renforcement des liens scientifiques et universitaires entre la France et le Tchad, l’Attaché de coopération scientifique et universitaire de l’ambassade de France au Tchad, Sylvain Lamourette, a effectué une visite au laboratoire hydro-géosciences et réservoirs de l’Université de N’Djamena ce 29 juin.

Cette visite, qui s’est déroulée au sein du département de la Géologie, a été l’occasion pour l’Attaché de coopération scientifique et universitaire de l’ambassade de France au Tchad de découvrir les activités de recherche en cours dans ce laboratoire, ainsi que d’échanger avec les chercheurs et les étudiants sur les avancées scientifiques réalisées dans le domaine des sciences hydro-géologiques et des réservoirs.

Le responsable du laboratoire et du Master, Dr Mahamat Nour Abdallah a procédé à la présentation des activités de recherche et de collaboration. Selon lui, pour cette année académique 2022-2023, la licence 1 en Sciences de la vie et de la terre (SVT) tronc commun compte 800 étudiants francophones et 24 arabophones; la licence 2 en Sciences de la terre et de l’univers (STU2) compte 51 étudiants (français) et 17 étudiants arabophones; la licence 3 en STU3 compte 50 étudiants francophones et 17 arabophones; le master 1 GeoRes(Géosciences et Réservoirs) compte 50 étudiants et le Master 2 GeoRes compte 47 étudiants.

Il poursuit que le laboratoire hydro-géosciences et réservoirs de l’Université de N’Djamena est reconnu à l’échelle nationale et internationale pour ses travaux de recherche et de formation dans le domaine de la géologie et des ressources en eau. Grâce à des partenariats scientifiques avec des universités et des organismes de recherche français le laboratoire bénéficie d’un accès privilégié à des ressources et des expertises de haut niveau.

Au cours de sa visite, l’Attaché a pu constater les avancées technologiques et les équipements de pointe dont dispose le laboratoire, ainsi que l’engagement des chercheurs dans des projets de recherche d’envergure. “C’est satisfaisant pour toute cette réalisation. Malgré quelques manquements observés, le laboratoire est mieux équipé. Grâce à cela, certains enseignants-chercheurs du département de la Géologie et d’autres départements peuvent travailler”, dit-il.