les vendeuses de légumes toujours en quête d’espace au marché de Dembé à N’Djamena

Depuis près d’un an et demi, les femmes vendeuses de légumes du marché de Dembé ne disposent pas d’espace fixe, pour la vente de leur marchandise.

Elles sont contraintes de travailler à même le sol, sans parasol, ni étals, exposées aux intempéries et à la poussière. Cette situation est préjudiciable à leur santé, car elles sont exposées aux rayons nocifs du soleil, et à d’autres maladies. Les femmes sont pourtant une main forte pour les besoins familiaux, mais les autorités communales ne sont pas en mesure de les protéger des intempéries.

Mme Bartchiret Fatimé Zara Douga, la nouvelle patronne de la ville de N’Djamena, pourrait être informée de cette situation précaire. Les femmes vendeuses de légumes sont exposées aux rayons de soleil qui peuvent provoquer des cancers de la peau, et des maladies cardiovasculaires.

En plus de ces risques pour leur santé, certaines femmes allaitent même leurs enfants, sous le soleil ardent. Les vendeuses demandent simplement des parasols pour se protéger. Malheureusement, elles ont l’impression que les autorités communales ne peuvent rien faire pour les aider.

Mais cette situation n’affecte pas seulement les femmes vendeuses de légumes, elle pose également un problème de santé publique pour les consommateurs. Les autorités communales doivent prendre leurs responsabilités pour améliorer les conditions de travail de ces femmes, et préserver la santé de la population.

La vente des légumes dans ces conditions précaires doit être résolue, pour le bien-être de tous.