L’impact de Sassou-N’Guesso sur la préservation de la biodiversité attendu à Libreville

Le sommet s’est ouvert ce 1er mars. Organisé sur l’initiative des présidents gabonais, Ali Bongo Ondimba et français, Emmanuel Macron, ce sommet qui regroupe, outres les chefs d’Etat, les scientifiques, les chefs d’entreprise, les investisseurs ainsi que les ONG , entend proposer des solutions communes pour protéger le bassin du Congo, le deuxième poumon écologique de la planète, après l’Amazonie.

Précurseur dans la préservation de l’environnement, Denis Sassou-N’Guesso, pourrait réitérer son appel à la mise en place d’une décennie de l’afforestation, lancé lors de la Cop27 à Sharm el Cheikh, en Egypte, en nombre 2022. Ainsi, l’humanité s’obligerait d’inverser le cours actuel de la destruction des forêts.

Président de la commission climat du bassin du Congo, le chef de l’Etat congolais est en effet l’un des premiers dirigeant à avoir institué dans la décennie 80, une journée nationale de l’arbre dans son pays. Dans le même temps il créa un service national de reboisement (SNR) dont l’objectif est de verdir davantage le territoire national, alors que la forêt couvre environ 69% de sa superficie nationale, soit 23,5 millions d’hectares de forêt.

Conscient de la dégradation continue de l’environnement, Denis Sassou N’Guesso a lancé lors de la COP22, le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, considéré comme l’un des principaux outils financiers de la Commission du Bassin du Congo.