Rewrite this title l’opposition dénonce les pratiques exclusives dans la gestion de la Transitionin French
Après avoir pointé du doigt le bilan négatif de la première phase de la Transition, le GCAP a fustigé les mêmes pratiques et résultats dans cette phase 2, qui selon lui, conduit à la paupérisation de la population tchadienne.
Le groupe a affirmé que l’amélioration des conditions de vie des populations ne peut pas se résumer à des déclarations factices, ou à des nominations clientélistes. Il a donc lancé une sonnette d’alarme, pour une gestion transparente et saine de la chose publique.
En effet, le Groupe de Concertation des Acteurs Politiques a l’intention de mener un combat permanent, large et global, pour contrecarrer un supposé plan de succession dynastique à la tête du Tchad, soutenu par certaines puissances étrangères.
Après avoir qualifié le gouvernement actuel de gouvernement de récompense, le GCAP a précisé que les partis politiques de l’opposition et les populations ne sont pas les ennemis de la Transition, mais que, ce sont plutôt l’exclusion, l’injustice, l’arbitraire, le népotisme, le chômage de masse, l’insécurité mortelle et la mauvaise gouvernance, qui sont les maux que le GCAP entend combattre.
Le GCAP a également qualifié d’arbitraire, la grâce présidentielle accordée aux jeunes arrêtés lors des manifestations du 20 octobre dernier, ainsi qu’aux prisonniers de guerre, qui, selon lui, ne constituent pas un signe d’apaisement. Il demande que la lumière soit faite sur les massacres du 20 octobre dernier.
En outre, tout en dénonçant le comportement de la CPI, de l’Union africaine, de l’Union européenne, de la France et des États-Unis, le GCAP dénonce également la politique de deux poids, deux mesures, dont bénéficie le Tchad.