Rewrite this title table ronde sur la contribution des professionnels de l’information au développementin French

La table ronde, qui a réuni plus de 70 participants de différents horizons, a duré environ deux heures et a permis des échanges sur les défis auxquels sont confrontés les professionnels de l’information et de la communication dans leur contribution au développement.

L’objectif de cette table ronde était de renforcer la coopération entre la Russie et l’Afrique à travers l’information pour le bien-être des peuples. Les participants ont souligné la nécessité de mieux connaître la Russie et ses cultures, et ont fortement recommandé la présence de médias russes sur le sol africain.

Le panel a également abordé la campagne de désinformation menée à travers certains médias occidentaux qui cherchent à dénigrer la Russie, ce qui constitue une menace pour la confiance entre la Russie et le continent africain. Les médias ont été appelés à traiter les informations de manière équitable et des participants ont suggéré d’améliorer les formations continues des Africains en langue russe pour vulgariser les informations.

Un participant a souligné que l’information est un combat permanent entre le bien et le mal et que cette guerre de communication imposée par l’Occident est un acharnement sur un seul bloc. Mohamed Koursi, participant algérien, a quant à lui déclaré que les Africains doivent explorer de nouvelles coopérations avec les Russes pour contribuer au développement de ces deux peuples en utilisant les médias comme un facteur de rapprochement.

La France est de plus en plus concurrencée par la Russie en Afrique, qui gagne du terrain sur le continent. Après la Centrafrique, le Mali, la France risque de perdre également le Burkina Faso, qui entame des nouvelles coopérations avec la Russie dans les domaines de la sécurité et du développement pour un partenariat gagnant-gagnant.

Enfin, avec des échanges de ce type, les professionnels de l’information pourront mieux comprendre la différence entre l’information et la communication. Les plus riches en Afrique sont plus investis dans la communication que dans l’information, selon les participants.